Fusillé vivant.

Bonjour,
voici un livre étonnant:




C'est un livre qui retrace l’histoire de François Waterlot.
Le 7 septembre 1914, sept réservistes appartenant au 327ème régiment d’infanterie sont fusillés « pour l’exemple ».
L’un d’eux, François Waterlot, âgé de 27 ans, n’est pas touché et feint de s’écrouler.
Placé à une extrémité de la rangée, il échappe au coup de grâce.
Laissé pour mort, il se relève et rejoint son régiment pour reprendre le combat.
Il périra au front le 10 juin 1915.

Cordialement,
CG

Une histoire étonnante !! rater une personne condamné a etre fusiller ... il faut avoir les pied a la place des mains et les mains a la place des pied !! il a eu énormément de chance ... et malgré ça il retourne au combat ...alors qu'il aurait pu passer inaperçu durant le conflit car laisser pour "mort" ,ça m'a l'aire d’être un bon ouvrage .

Salut,

En effet étonnant cette histoire.

cdt

totoroblochon a écrit:

Une histoire étonnante !! rater une personne condamné a etre fusiller ... il faut avoir les pied a la place des mains et les mains a la place des pied !! il a eu énormément de chance ... et malgré ça il retourne au combat ...alors qu'il aurait pu passer inaperçu durant le conflit car laisser pour "mort" ,ça m'a l'aire d’être un bon ouvrage .

D'un autre côté fusiller quelqu'un dont on ne sait rien de la culpabilité n'a rien de rationnel non plus. Je pense que certains devaient volontairement tirer à côté pour ne pas avoir cet acte sur la conscience.

Il y a tjs au moins un fusil chargé à blanc ds tout peloton d'exécution !

c'est pas une légende, ça?

Jean Loup