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| Réflexion sur l'épée dite de sergent type 1756 | |
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max c. Aspirant
Nombre de messages : 417 Localisation : Gatineau, Québec Thème de collection : Armes blanches Date d'inscription : 20/06/2013
| Sujet: Réflexion sur l'épée dite de sergent type 1756 Mer 27 Nov 2024 - 16:17 | |
| Je souhaite partager certaines réflexions par rapport à l'épée dite de sergent de 1756 qui me taraudent depuis un certain temps. Pour ceux n’ayant pas le temps ou le courage de lire la dissertation qui suit, je vous propose un résumé de mes points principaux. Résumé : Ce type d’épée semble provenir du monde militaire, du moins quand on considère la plupart des fourreaux. La présence de marques de fourbisseurs d’élite, de poignée d’ébène hors de prix, et de montures en acier indique, dans la majorité des cas, une arme fort onéreuse. Le choix d’un métal argenté pour la monture ne cadre pas dans un uniforme standard de sous officier, et semble plutôt à sa place dans des corps ayant des parements de couleur argentés, tels que la Maison du Roi. Le seul exemplaire présentant des marquages régimentaires semble indiquer une association à la Garde Écossaise. Cependant, la plupart des épées marquées de la Maison du roi, ou représenté sur des tableaux, nous montre plutôt des épées semblables à celles portées par les officiers de ligne de l'époque, mais de couleur argentée, sans poignée noire. Une hypothèse peut être plus probable est qu'il s'agirait d'un type d'épée créée pour les officiers en tenue de deuil En effet, les seules mentions que je puisse trouver d'épées à poignée noire et monture d'argent sont explicitement décrites comme épées de petit deuil. Réflexion: La réflexion m’est venue dans la dernière année, alors que j’ai acquis une de ces épées marquée du fourbisseur Giverne, se disant fourbisseur des deux compagnies de mousquetaires du roi. J’ai trouvé une telle provenance sur une arme d’un sous-officier assez étrange. Je me suis demandé s’il s’agissait peut-être d’une pièce composite, quelqu’un ayant remplacé la lame d'originepar celle-ci. Mais dernièrement, mon ami Damien Olivier a partagé sur Facebook une analyse formelle de ce type d’épée, en utilisant toutes les annonces d’enchères, vendeurs, ouvrages de références et collections muséales qu’il a pu trouver. Or, non seulement de nombreuses épées de ce type sont marquées d’un fourbisseur, mais Giverne est le fourbisseur le plus représenté dans cet échantillon. Je suis maintenant convaincu qu'il est fort improbable que ces épées aient été portées par des sergents. Je m’explique. Le lien qu’on fait présentement avec les sergents d’infanterie et ces épées est principalement basé sur les réflexions d’Ariès et Pétard, suivant eux même Bottet. Leur suggestion repose sur quelques points spécifiques : que ces épées sont de type militaire, et que leur aspect général n’est pas aussi brut que celui des épées de troupes, mais pas aussi soigné que les épées d’officiers. Cette réflexion est valide, surtout au vu de certains fourreaux qui sont sans équivoque d’origine militaire, notamment les fourreaux en cuir noir à crochet, très semblables à ceux utilisés pour les épées de soldat. Cependant, cette réflexion ne s’appuie sur aucune source historique. Nous savons que les sergents, à certaines périodes, portaient l’épée, mais le modèle n’est jamais décrit jusqu’à la fin du XVIIIe. La question du fourreau elle-même apporte des questionnements. En effet, il existe plus qu’un type de fourreau. Il y a celui décrit plus haut, mais aussi un autre type avec anneaux de bélière et crochet, et parfois seulement avec anneaux de bélières, parfois même en cuir plus fin, voir en galuchat. Ce type est illustré dans les planches d’Ariès notamment. Hors, un tel fourreau ne semble pas compatible avec l’harnachement d’un sergent d’infanterie, qui porterait son épée en ceinturon, mais plutôt à celui d’un officier supérieur, qui serait même appelé à porter son épée dans le style d’un cavalier, en utilisant les anneaux de bélières, lorsqu'il se trouverait monté. Pour en revenir à la lame, celle-ci est souvent d’une taille qui semble compatible avec un usage d’infanterie, souvent dans un format plus large au talon, cependant il existe encore là des variations, avec des lames plus longues et infiniment plus fines. Comme je l’ai mentionné plus haut, les marquages sur ces lames sont extrêmement curieux pour une arme de sous-officier. Premièrement, pourquoi des armes de troupe ne seraient jamais issues de la manufacture royale? Certains sergents auraient bien pu acquérir leur propre épée chez un fourbisseur, ou le régiment aurait pu lui décerner comme récompense, mais ces épées seraient logiquement rares. Hors, elle ne le sont pas vraiment, et aucune marque de manufacture royale n’est recensé sur celles ci, à ma connaissance. Ensuite, la présence de noms comme Giverne est très surprenante. Un fourbisseur qui équipe les mousquetaires du roi n’est pas un marchand offrant des pièces au rabais, et j’ai du mal à croire qu’une solde de sergent permette d’y magasiner une épée. Je ne suis même pas sûr qu’il ait été bien vu pour eux d’y mettre les pieds. De la même manière, on ne rencontre pas de briquets ou d’épées de sous-officiers marquées du fourbisseur Duc. La grande majorité de ses pièces sont liées à des officiers de la garde impériale et royale, ou des officiers supérieurs. On semble aussi retrouver ce type d'épée sur l'enseigne d'un fourbisseur de la Rochelle datant d'entre 1760 et 1767. L'épée est représentée derrière des modèles luxueux, et un fleuret d'escrime. Ce serait un choix plutôt curieux d'y ajouter une épée commune destinée à des sous officiers. Enfin, la monture est selon moi un des indices les plus visibles. S’il est vrai que ces montures sont spartiates et jamais d’un grand raffinement, le travail qui leur est appliqué est à milles lieux des épées de troupes. Les quelques cannelures sur la garde sont très propres, les formes de la quincaillerie sont assez précises et soignées, et surtout les poignées en ébènes montrent un haut degré d’attention au détail. Ces poignées peuvent avoir l’air simples, mais leur exécution demande selon moi un travail bien plus important pour un fourbisseur qu’un filigrane qu’on peut assez rapidement enrouler sur une fusée de bois quelconque et sommairement travaillé. Les lignes en spirale sont fines et égales, et on y décèle très peu de marques d’outils. De plus, le choix d’un bois comme l’ébène est audacieux. Non seulement est ce un bois d’une dureté incroyable, et donc d’un travail difficile, mais aussi très onéreux. C’est un matériel de grand luxe, travaillé par des spécialistes (les ébénistes) et qu’on retrouve notamment dans des manches d’instruments de chirurgiens de qualité. On utilise souvent un placage pour réduire le coût de certains objets. Mais même les instruments de chirurgiens ont des poignées bien moins travaillées que ces épées. Les torsades sont très fines, et visiblement le travail d'un expert était nécessaire. Une erreur dans leur travail et c'était un bon morceau d'ébène coûteux gaspillé. Si ces poignées sont bien en ébène, et non dans une imitation teinte (j’en douterais fortement, les poignées que j’ai vue me semble toutes en bois extrêmement dur, et au grain invisible typique de l’ébène) si un administrateur militaire a décrété que tous les sergents d’infanterie en soit équipé, il devait assurément être pris d’un accès de folie, et ses aides de pauvres inconscients. On connait les excès de la monarchie à cette époque, mais il me semble qu’une telle dépense ne serait pas passé inaperçue, surtout pendant une guerre aussi onéreuse que celle de sept ans. Cependant, il faut noter que plusieurs exemplaires ont des poignées en bois recouvertes d’un filigrane. Ces derniers étant souvent peints en noir. J’ai aussi remarqué quelques exemples recouverts de cordes, elle aussi peinte. Il est difficile de dire si ces montures font partie du même type, mais si c’est bien le cas, il semble qu’on ait peut être eu des options « au rabais ». Autre détail important, l’utilisation de l’acier pour cette monture. Les illustrations d’époque pour les sergents sont rares, mais celles qu’on trouve au début du XVIIIe nous montre des montures dorées, assez proches de l’épée du soldat, comme dans cette illustration de 1718. Pourquoi donc avoir opté momentanément pour l’acier? Non seulement sa production est elle hautement plus complexe et couteuse qu’une monture en laiton, mais il faut aussi considérer son entretien. Ces pauvres sergents auraient sûrement pesté contre l’obligation de devoir sans cesse graisser, polir et nettoyer des montures hautement oxydantes et exposées aux éléments. Ceci pose un autre problème. Des épées de sergents étant passées d’un officier à l’autre pendant des années, ou même simplement nettoyé des centaines de fois par un seul sergent, on s’attendrait à y voir des signes d’usures très apparent, et surtout pas des gravures fines ayant survécus sur de nombreuses lames. Or, ces épées sont très souvent dans des états excellents voir irréprochables, et leur monture ne démontrant pas ou peu de signes de fatigue. Dernier point sur ce choix de matériel, la couleur elle-même. À cette époque, on obsède régulièrement sur l’agencement des boutons d’uniforme à la couleur de la monture de l’épée. L’infanterie ayant le plus souvent des boutons dorés, la monture de laiton est toute indiquée. Hors, les sergents en 1756 portent pour la très vaste majorité des boutons de laiton. Qui porte plutôt des boutons et parements argents? La Maison du Roi. C’est pourquoi une grande partie des épées assignées à ces corps ont des montures en acier, ou plus souvent plaquées argent. Les épées de troupe de l’Ancien Régime sont très rares, dû principalement au fait qu’elles étaient utilisées longuement, mais aussi qu’on les recyclait, notamment pendant la Révolution et l’Empire, ou le besoin de matière première était criant. Ces épées ne sont pas communes, mais me semble beaucoup plus répandues que des épées de soldat par exemple, pourtant produites à des nombres hautement supérieur à des épées équipant seules les sergents pendant à peine une décennie. Il n’existe, à ma connaissance, qu’un seul exemplaire ayant des marquages régimentaires. Le pommeau de cette épée est décorée d’un chardon écossais et d’une fleur de lys, tandis que la lame porte les armoiries des Bourbons et la devise de la Maison du Roi : Vive le Roi. Il me semble très probable que cette arme fut portée par un membre de la Garde Écossaise. Cependant, je ne crois pas non plus qu'il s'agisse d'un modèle exclusif à la Maison du roi. Les autres épées marquées de ce groupe sont plutôt de style similaires à ceux des officiers de ligne, mais plaquées argent, et à poignée de filigrane argent. On voit la même chose dans ce portrait d'un mousquetaire de la seconde compagnie. Je penche plutôt vers un modèle élaboré pour la tenue de deuil des officiers. En effet, les seules mentions que j'ai trouvé dans la littérature d'époque d'épées à poignée noire et monture couleur argent sont spécifiquement décrites comme des épées de deuil. À l'époque, il existe des pratiques assez codifiées, surtout à la cour, considérant les tenues de deuil. Un grand deuil, en 1769, nécessitait une épée noire ou bronzée, et pour le petit deuil une épée d'argent. Pendant les funérailles du Comte Maurice de Saxe en 1750, les membres de sa famille avaient des épées à poignée noire. François de Los Rios raconte qu'entre 1745 et 1750 il acheta une épée de rencontre à poignée noire pour marquer son deuil. Il n'y a pas énormément de sources à ce sujet, mais basé sur ces quelques mentions, il me semble qu'il aurait été curieux pour quiconque de porter une épée à poignée noire hors d'un deuil. On aurait pu juger que la personne tentait de faussement s'attirer la sympathie des autres. Ceci expliquerait peut être aussi pourquoi certaines de ces épées ont des montures noircies. Comme par exemple cette épée vendue aux enchères qui a aussi les garnitures de son fourreau noircies, bien que je ne sois pas certain si cette couleur fut rejoutée plus récemment. Il est néanmoins possibles que plusieurs de ces épées aient autrefois étés bronzées ainsi, terme utilisé dans les sources pour parler des épées de grand deuil. Le point le plus curieux pour moi demeure le fait que pour cette époque il s'agisse du seul type d'épee ayant une poignée d'ébène. On imaginerait que des variations existeraient, mais cette poignée en torsade semble être un modèle très fixe, et toujours avec une monture identique. Peut être a t'on voulu uniformiser le type d'épée qu'un officier devrait porter en deuil en créant un modèle, et que la plupart des gens ne prévoyaient pas l'achat d'une telle épée assez longuement pour en commander une fantaisie. Cela pourrait aussi expliquer la sobriété de la monture. Il était peut être de mauvais goût de rivaliser de fioritures pendant un deuil. Les habits eux mêmes semblent refléter cette idée. Voilà donc ma réflexion à ce sujet. Je serais curieux de voir si d'autres possèdent des exemples différents, ou ont pu trouver des informations plsu précises sur ce modèle. |
| | | Gwalchaved Je fais partie des murs
Nombre de messages : 6317 Localisation : dans la galaxie Thème de collection : au coup de coeur Date d'inscription : 27/06/2020
| Sujet: Re: Réflexion sur l'épée dite de sergent type 1756 Mer 27 Nov 2024 - 18:45 | |
| Bonjour
Au vue des photos et de la description l'épée présentée n'est pas une épée de sergent d'infanterie classique. C'est a minima une épée d'officier voir d'officier d'un corps de la garde. J
Pour l'ébène il faut se méfier car il faudra attendre le XVIII pour que le bois soit considérer comme précieux avec l'arrivée "d'ébénistes" hollandais vers 1746. Au musée de Bordeaux par exemple on a des meuble très simples de la toute petite bourgeoisie voir des table d'auberge qui sont en ébène. Ce bois dur a longtemps servit à caler les marchandises et il était déposé à quai voir jeté dans le port et chacun venait en récupérer pour ses besoins personnels auprès des ouvriers des ports qui le vendait à prix bas puisque considéré comme sans grande valeur, d'autan plus que rares étaient ceux qui savaient le travailler finement et autrement qu'en le débitant en planche.
En 1756 ce bois était bien plus renommé et aucun sergent n'aurai pu avoir d'épée avec ce genre d'essence.
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| | | Cathelineau Je fais partie des murs
Nombre de messages : 7496 Localisation : Pays du Sultan juste Thème de collection : Long XIXe siècle Date d'inscription : 16/07/2012
| Sujet: Re: Réflexion sur l'épée dite de sergent type 1756 Mer 27 Nov 2024 - 19:06 | |
| Bonsoir,
Merci pour ces réflexions très intéressantes, sur ce modèle d'épée mais aussi sur le concept d'épée de deuil en général. Le noir de l'ébène était-il alors spécifiquement lié au deuil ? Peut-être pour les épées. Mais dans d'autres domaines de l'arme blanche, comme les dagues de vénerie, il semble fort à la mode en dehors de tout contexte funèbre. On remarque aussi que fin XVIIIe / début XIXe il se généralise (en vrai ou en imitation) pour les armes d'officier et même un peu de troupes d'élite. La perception sociale de la fusée noire évoluerait donc.
Amicalement. |
| | | max c. Aspirant
Nombre de messages : 417 Localisation : Gatineau, Québec Thème de collection : Armes blanches Date d'inscription : 20/06/2013
| Sujet: Re: Réflexion sur l'épée dite de sergent type 1756 Mer 27 Nov 2024 - 22:05 | |
| - Gwalchaved a écrit:
- Bonjour
Au vue des photos et de la description l'épée présentée n'est pas une épée de sergent d'infanterie classique. C'est a minima une épée d'officier voir d'officier d'un corps de la garde. J
Pour l'ébène il faut se méfier car il faudra attendre le XVIII pour que le bois soit considérer comme précieux avec l'arrivée "d'ébénistes" hollandais vers 1746. Au musée de Bordeaux par exemple on a des meuble très simples de la toute petite bourgeoisie voir des table d'auberge qui sont en ébène. Ce bois dur a longtemps servit à caler les marchandises et il était déposé à quai voir jeté dans le port et chacun venait en récupérer pour ses besoins personnels auprès des ouvriers des ports qui le vendait à prix bas puisque considéré comme sans grande valeur, d'autan plus que rares étaient ceux qui savaient le travailler finement et autrement qu'en le débitant en planche.
En 1756 ce bois était bien plus renommé et aucun sergent n'aurai pu avoir d'épée avec ce genre d'essence.
Merci pour la précision sur l'ébène. De ce que je lis, le prix de ce bois fluctuais beaucoup. Avant 1710, il était très dispendieux en France, mais avec l'acquisition des ïles Maurice, la France a eu accès à des forêts assez riches. Cependant, la littérature semble indiquer que son prix était toujours assez haut, plus que de nombreux bois nobles comme le noyer. Cependant, on recherchait presque exclusivement l'ébène noir uni se trouvant au cœur de l'arbre. Les pièces présentant des striures, grains grossiers et impuretés auraient été pour ainsi dire invendable. C'est peut être ce qui était récupéré. Concernant le premier point, ce type d'épée est depuis longtemps identifié comme tel, mais je suis d'accord que l'association à des sergents me semble maintenant peu probable. - Cathelineau a écrit:
- Bonsoir,
Merci pour ces réflexions très intéressantes, sur ce modèle d'épée mais aussi sur le concept d'épée de deuil en général. Le noir de l'ébène était-il alors spécifiquement lié au deuil ? Peut-être pour les épées. Mais dans d'autres domaines de l'arme blanche, comme les dagues de vénerie, il semble fort à la mode en dehors de tout contexte funèbre. On remarque aussi que fin XVIIIe / début XIXe il se généralise (en vrai ou en imitation) pour les armes d'officier et même un peu de troupes d'élite. La perception sociale de la fusée noire évoluerait donc.
Amicalement. En effet, les règles de la tenue de deuil ne semble concerner que les épées, et non d'autres accessoires. Ainsi, les couteaux de table, rasoirs, et autres instruments ont des poignées en ébène, bois de rose, ivoire ou nacre. Et oui les poignées noires semblent se populariser avec les épées pendant le consulat, et on inclut des épées à poignées noire et garde argent pour certaines fonctions (qui portent le plus souvent le noir). Pourquoi? Je n'en suis pas sûr, mais il semble que l'épée de marcasite à poignée noircie devient de rigueur lors des funérailles. On associe donc peut être plus l'aspect général de l'épée que ses couleurs au deuil. Il faut aussi noter que l'épée de cour/ville/rencontre est seule associée à la tenue de deuil, mais un sabre à poignée noire ne le serait pas. |
| | | Ps09 Général d'Armée
Nombre de messages : 1623 Age : 64 Localisation : à l'est du royaume Thème de collection : XVIII de préférence Date d'inscription : 23/08/2014
| Sujet: Re: Réflexion sur l'épée dite de sergent type 1756 Dim 1 Déc 2024 - 19:43 | |
| Bonjour, Je rejoins nos confrères sur l'intérêt de votre attribution possible. Il est vrai que cette épée est des plus fréquentes et souvent en très bon état. Le fait de les trouver facilement à des prix raisonnables fait que les collectionneurs ne les ont jamais boudées. J'en ai d'ailleurs acquis une (certes en mauvais état) avec un filigrane fer et une lame atypique. Vous mettez le doigt sur une attitude fréquente chez les collectionneurs d'aujourd'hui, c'est de reprendre les hypothèses issues de sources secondaires pour des vérités absolues. Néanmoins ces épées restent plaisantes à collectionner. Cordialement Ps09 |
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| Sujet: Re: Réflexion sur l'épée dite de sergent type 1756 | |
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