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 Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux

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poddichini
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MessageSujet: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyMar 30 Jan - 16:30

Bonjour à toutes et tous,

C'est une trouvaille pour le moins atypique que j'ai faite. A vrai dire, c'est une découverte en même temps, car je n'avais jamais vu un tel képi, de telles pattes d'épaule, et peut-être n'en reverrai-je jamais...  C'est donc, comme on peut le voir, un képi de chef africain. Le képi ressemble au modèle 1919 et ressemble à un képi militaire, avec fausse jugulaire, boutons dorés et lisses de maintien de la fausse jugulaire, soutache, nœud hongrois. Il date de la période suivant la Seconde Guerre mondiale. Une paire de pattes d'épaule l'accompagne, avec les mêmes indications, un feuillage entourant l'expression « chef africain ». On remarque aussi la présence d'un galon. Je pense que ce galon, et cette soutache sur le képi n'indiquent pas de fonction particulière, de grade particulier. Tout laisse à penser, au regard du petit papier présent sur le bord du bandeau de ce képi, que celui-ci n'a jamais été porté.

C'est une découverte vraiment rare pour moi. Je me laisse donc à penser, sans certitude aucune, que ce képi est à mettre en lien avec les chefferies traditionnelles des territoires de l'Empire colonial français, au cours des années 1950, avant la période des indépendances. Peut-être me trompe-je totalement.

On peut donc approfondir le sujet de ces chefferies traditionnelles dans cet écrit ci-dessous.


A la fin du XIXème siècle, la France met en place, dans ses colonies et autres statuts de territoires colonisés, une véritable administration coloniale, non plus confiée à des militaires, comme dans les premiers temps de la conquête, mais à un personnel formé pour cela. A ce titre, j'ai évoqué, plusieurs fois, la naissance et le rôle de l’École coloniale, fondée à la fin des années 1880, et qui a eu une longue existence. Cette école formait, entre autres, les futurs personnels de l'administration coloniale, que ce soit dans les bureaux métropolitains, ou bien, et surtout, dans les territoires de l'Empire. Mais, cette formation dispensée à ces hommes ne permettait pas de tout savoir sur les populations qu'il fallait administrer aux colonies, sur leurs coutumes, sur leurs rites, leurs traditions, leurs croyances, et la manière dont ils étaient gouvernés, avant la présence française. Une fois sur place, l'administrateur devait encore se familiariser avec tout cela. Pouvait-on, toutefois, confier l'entière responsabilité à l'administrateur, pour gérer son cercle, son district, sa province ? Malgré une politique d'assimilation, d'administration directe dans les colonies, cette administration pouvait-elle être du seul fait du représentant de la France ? De plus, comment était-il possible, pour les administrateurs coloniaux, de maîtriser parfaitement les us et coutumes de leurs administrés, au regard des changements assez rapides d'affectation ? En effet, les mutations, les changements de cercle, les changements de personnels au sein des subdivisions, rendaient difficile cette maîtrise. Dans son ouvrage (cité en bas de page), Jean Clauzel explique : « Le métier des administrateurs de brousse nécessitait, en effet, une très bonne connaissance des coutumes des populations parmi lesquelles ils exerçaient leur métier, dans tous les domaines de leurs responsabilités : chefferies, règlement des palabres ou contentieux au civil (droit des personnes et des biens, qui étaient fondés, dans tous les territoires, sur les coutumes et les traditions des différentes ethnies), en conciliation et au tribunal civil ; contacts avec les marabouts et prêtres animistes, et même mise en valeur, avec les problèmes de tenure des terres par exemple ». Cette familiarisation avec les coutumes fut aussi permise par la lecture d'ouvrages spécialisés, sur les ethnies de tel ou tel territoire par exemple, des ouvrages et fiches réalisés par les administrateurs en poste précédemment dans les territoires. Mais aussi, et bien sûr, par l'intermédiaire de la discussion, sur le tas. Clauzel cite un administrateur de la promotion 1949 de l'ENFOM (École nationale de la France d'Outre-mer, nouveau nom de l’École coloniale), en poste en Afrique équatoriale française, plus précisément sur le territoire de l'Oubangui : « J'ai essayé de me familiariser avec les traditions et les coutumes, mais surtout avec la construction même de la société africaine... L'histoire des clans et leur rôle dans le fonctionnement du village m'ont beaucoup aidé à ne rien bousculer pour adapter». Cette citation est intéressante, dans le sens où elle montre non pas une volonté de s'imposer, mais une volonté d'adapter la manière d'administrer aux populations administrées.

Ainsi donc, il apparaît difficile pour un commandant de cercle par exemple, de diriger, à lui tout seul, son cercle, parfois vaste territoire, composé de villages nombreux (un exemple : la subdivision togolaise de Lama-Kara comptait près de 190 000 habitants en 1941). Il était donc presque nécessaire de compter sur le pouvoir, l'autorité, des chefferies traditionnelles. C'est ce que le gouverneur Martial Merlin a expliqué très tôt, à la fin des années 1900, dans une circulaire en AEF : « Il est impossible de pratiquer aux colonies l'administration directe... sans aucun intermédiaire indigène... C'est donc partout une politique de concours et de collaboration avec les chefs indigènes qu'il faut mettre en œuvre ». En Afrique occidentale française aussi, cette idée fit son chemin, portée notamment par Joost van Vollenhoven, gouverneur-général de l'AOF entre 1917 et 1918 (circulaire du Gouverneur général au sujet des chefs indigènes ; Dakar ; 15 août 1917). Dans cette circulaire, il explique la difficulté du commandant de cercle à administrer l'ensemble du territoire qu'il a sous sa responsabilité, puis la nécessité de s'appuyer sur des chefs locaux pour administrer le territoire : « Le personnel du cercle (administrateurs et agents des Affaires indigènes) oscille de 2 à 4 unités ; quelques fois quand il y a des postes secondaires, on trouve jusqu'à six agents chargés du service politique mais c'est très rare ! Comment veut-on qu'un aussi faible état-major suffise à une tâche dont j'ai esquissé tout à l'heure la complexité ? L'action du commandant de cercle ne peut se faire sentir que sur les populations qui sont au contact immédiat ; c'est-à-dire au chef-lieu, dans la banlieue du chef-lieu ou dans les villages placés sur les principaux itinéraires […] Dans la plus grande partie de son commandement, l'administrateur devient un inconnu […] On peut dire, sans aucun paradoxe, que le commandant de cercle perd toujours le contact quand il cherche à l'établir directement. Il recourt donc nécessairement à des intermédiaires indigènes ; il ne peut agir autrement […] Le chef doit avoir sur les populations qu'il encadre une réelle autorité […] Dans les régions qui, traditionnellement, bénéficient d'une forte hiérarchie, la tâche est aisée ; il suffit de respecter cette hiérarchie. C'est le cas pour la plupart des régions de l'Afrique occidentale française. On y trouve toujours ou presque toujours des familles investies du droit de commandement depuis de longues années, parfois même depuis plusieurs siècles […] Souvent les choix ne s'imposent pas avec une aussi grande évidence. Il faut alors peser les candidatures puisque plusieurs candidats invoquent des titres équivalents : la considération déterminante reste cependant la même ; le candidat doit être accepté volontiers, il ne doit pas être celui qui plaît le plus à l'administrateur mais celui qui plaît le plus à la population. Il est rare qu'on ne trouve point dans le pays un individu qui, par ses origines, sa valeur et son autorité ne se détache du commun et que le commun ne respecte ; c'est celui-là qu'il faudra choisir ». Van Vollenhoven évoque aussi la possibilité qu'aucun chef ne puisse être choisi dans un territoire. Dans ce cas, il ne faut pas hésiter à prendre le chef en dehors du territoire en question et « c'est au commandant de cercle qu'il appartiendra de faire accepter ce candidat étranger […] Un chef venu de l'extérieur, bien guidé par le commandant de cercle et apte au commandement, s'impose aisément. Il est étranger aux querelles locales et c'est un gage d'impartialité […] Ainsi, en matière de recrutement des chefs, il n'y a pas une règle simpliste mais plusieurs hypothèses ».

Dans les territoires d'Afrique, avant la colonisation, une hiérarchie existait, du chef de village (ou chef de famille dans certaines sociétés) jusqu'au royaume ou empire, en passant par le chef de province. L'administration coloniale a donc tenté de se baser sur cette hiérarchie existante pour gouverner, et, parfois, déléguer une partie de son pouvoir. Dans les villages, le titre de chef, et le pouvoir allant avec, a tendance à se transmettre au sein de la famille. Parfois, dans certaines communautés, les chefs étaient élus. Il était donc important, pour les administrateurs des colonies, de connaître ce système, et de nommer les chefs suivant ces coutumes, et suivant le pouvoir des chefs traditionnels. Ce chef devenait donc comme un représentant « officiel » du village, de la province, pour le gouvernement français.
Là où la nomination fut, semble-t-il, plus difficile, c'est à l'échelle du canton. En effet, dans certains territoires, ces cantons n'existaient pas avant la conquête coloniale. Il fallut donc trouver un représentant. Ces cantons étaient des regroupements de villages. Que faire alors ? Nommer un représentant dont l'autorité naturelle était suffisamment forte pour être acceptée de tous et respectée de tous ? Ou bien nommer de toute pièce un chef de canton (les « chefs du Commandant »), au risque de futures contestations ? Cela posait la question de la légitimité de ces chefs nommés de toute pièce.
Mais, globalement, ce sont les chefs traditionnels qui furent nommés chefs de canton. On nota, quelquefois, des candidatures multiples pour occuper ce poste.

On peut noter aussi que la très grande majorité des chefs furent des hommes. Mais, il y eut des exceptions, comme en Mauritanie, où, au moins, une femme, fut nommée cheffe par l'administration, après acceptation par les autorités de la tribu maure en question.

Quels étaient les rôles du chef ? Le premier était celui de représenter sa communauté auprès de l'administrateur. Les chefs sont également des relais pour les consultations importantes visant à prendre des décisions importantes pour le territoire administré. On consultait les chefs pour le recensement de la population, pour la collecte des impôts. Van Vollehoven, dans la circulaire déjà mentionnée, explique le rôle des candidats pour devenir chefs, après avoir reçu une instruction, au moins l'apprentissage du Français : « les candidats à l'emploi de chef devront être associés à l'administration du cercle. Ils participeront à la transmission des ordres et à leur exécution ; ils surveilleront les chantiers ; ils seront employés comme auxiliaires dans le recensement et la collecte des impôts ; ils seront chargés de rechercher les malfaiteurs ».
Certains chefs s'impliquaient beaucoup dans ce rôle qu'ils avaient. Jean Clauzel cite un extrait du livre de Pierre Messmer (élève de la promotion 1934 de l'ENFOM) : Après tant de batailles (Éditions Albin Michel, 1992), dans lequel il évoque Félix Houphouët-Boigny, alors chef traditionnel : « passionné d'urbanisme, de grands travaux […] Avant et mieux que d'autres, il a compris que le développement de la Côte-d'Ivoire passe par la croissance économique […] Il veut développer les cultures, toutes les cultures (cacao, café, bananes, ananas, coton) dans des plantations indigènes si possible ».

A l'approche de la décolonisation, les années 1950 voient de nombreuses réflexions autour de l'avenir des chefferies traditionnelles. On pensa d'un côté qu'il fallait conserver les structures traditionnelles au moment où les pays deviendraient indépendants, tout en les modernisant. On pensa d'un autre que les élus, nouvellement nommés, remplaceraient les chefs traditionnels. Certains chefs traditionnels sont devenus maires, aux indépendances (au Cameroun par exemple). Jean Clauzel conclue sur ce point : « On peut dire que les administrateurs ont fait en sorte de maintenir et même de conforter la situation des chefs et leur autorité, ce qui a permis à ceux-ci de prendre leur part dans le développement de leurs populations, auquel s'appliquaient les administrateurs. Mais lors de la mise en place d'une évolution politique fondée sur des élections, et faute d'une politique qui n'avait pas été définie, les administrateurs n'ont pas su, ou pas pu, dans la majorité des cas, aider les chefferies traditionnelles à s'adapter, pour qu'elles puissent s'insérer et continuer à jouer leur rôle dans les institutions nouvelles des États africains devenus indépendants ».

Prenons un exemple concret, celui du Sénégal, territoire faisant partie de l'AOF, en nous appuyant sur l'article de François Zuccarelli sur l'évolution du canton colonial dans ce territoire, entre 1855 et 1960. Dans son article, François Zuccarelli évoque un élément important de la « formation » des chefs : l'école des fils de chefs (créée en 1855 au Sénégal par Faidherbe, à Saint-Louis). Appelée aussi « école des otages », elle formait les enfants de chefs à leur future tache d'intermédiaire entre la population et l'administration coloniale. Les élèves, titulaires du certificat d'étude, avaient entre 13 et 17 ans.
En 1935, on précise, par arrêté, que le gouverneur nomme, sur la proposition du commandant de cercle, les chefs de canton ; deux ans plus tard, on ajoute à cela la consultation du conseil des notables du cercle et les chefs de canton en exercice sur les candidatures pour être chef de canton. Après la Seconde Guerre mondiale, les conditions pour se porter candidat au poste de chef de canton sont précisées : il faut être âgé de 25 ans au moins, et de 60 ans au plus ; savoir parler, lire et écrire couramment le français ; être en règle avec la législation sur le recrutement militaire, n'avoir encouru aucune sanction ; et avoir reçu l'autorisation du gouverneur pour se présenter aux élections. A la fin de la période coloniale, au Sénégal, l'accession au poste de chef est toujours définie par la coutume. Les candidats sont toujours issus de familles ayant des droits à un commandement.
Le chef de canton au Sénégal a plusieurs fonctions. Dans les années 1930, il a pour tâche de transmettre les ordres supérieurs aux chefs de village et veille à leur exécution. Il a également des fonctions sur le plan militaire puisqu'il doit présenter les appelés devant les commissions de recensement pour le service militaire et tenir le contrôle des réservistes. Il a aussi la mission de veiller à l'ordre public. Il assure la préparation et la perception de l'impôt. Il a aussi pour fonction de tenir le recensement de la population du canton, d'informer en cas de maladies et épidémies dans le canton. Plus globalement, c'est un administrateur à l'échelle du canton.
Le statut des chefs de canton a semble-t-il évolué au Sénégal. Si, dans les années 1910-1920, ils n'avaient pas le statut de fonctionnaire, il semblerait qu'à la fin de la période coloniale, ils soient devenus comme des fonctionnaires, des commis d’administration, percevant une solde, suivant leur grade.

Enfin, peu de documentation semble évoquer les marques distinctives, vestimentaires, portées par les chefs, de village, de canton, de province. Ce képi est le seul que j'ai pu avoir à ma connaissance, ce qui ne veut pas dire que ce soit le seul qui existe néanmoins. Il faut sûrement aller chercher dans les témoignages, les livres évoquant les carrières d'administrateurs des colonies, pour avoir des informations sur ce point. On sait qu'après la Seconde Guerre mondiale, au Gabon, en AEF donc, a existé un insigne de chef de canton. Cet insigne se composait d'un drapeau français, surmonté des lettres RF. Une banderole dorée traversait le drapeau avec la mention « chef de canton ». Cet insigne fut fabriqué par Arthus Bertrand. On peut imaginer que cet insigne était porté par le chef de canton lors des visites des administrateurs, commandants de cercle en tournée, voir des gouverneurs, tel les maires portant l'écharpe tricolore.
Ajoutons aussi qu'après l'indépendance des pays, on retrouve le même type d'insigne, les drapeaux aux couleurs nationales ayant remplacé le drapeau français en fond des insignes. Ainsi, en République centrafricaine, on a eu des insignes semblables dans la composition, pour chef de village, chef de quartier (fabrication Arthus Bertrand) ; ainsi au Gabon, également, pour chef de village (fabrication Mourgeon, Paris). En Indochine (ou bien au Vietnam), on eut également les mêmes types d'insignes, en fabrication Drago Paris 43 R. Olivier Métra Déposé (deuxième moitié des années 1940 – début des années 1950) pour chef de village adjoint, chef de village, chef de canton.
Ajoutons enfin que Van Vollenhoven eut l'envie de récompenser les chefs par des décorations. Citons-le à nouveau, dans sa circulaire de 1917 : « Rares, sont les chefs indigènes de l'Afrique occidentale française décorés de la Légion d'honneur. Ceux qui portent une décoration coloniale ou métropolitaine sont un peu plus nombreux mais on ne voit guère sur les boubous ou sur les burnous de nos collaborateurs que les médailles d'honneur appelées ''médailles merci'' par les bénéficiaires. Il faut rompre avec cette tradition d'avarice. Il faut se montrer vis-à-vis des chefs indigènes aussi généreux que la France sait l'être. Dans toute l'Afrique du Nord, dans toute l'Indo-Chine on reconnaît les services rendus par les chefs indigènes en leur attribuant des décorations que le Gouvernement métropolitain accorde d'ailleurs volontiers. Il faut suivre cet exemple : il faut remettre avec cérémonial ces récompenses enviées afin qu'elles soient portées avec honneur ».

Pour maintenir la présence française, et administrer au mieux les territoires, les « vrais chefs de l'Empire » (expression que l'on doit à Robert Delavignette, désignant les commandants de cercle) ont donc dû, dans la grande majorité, compter sur l'autorité des chefferies traditionnelles, et cela à plusieurs échelons. Ces chefferies furent donc des acteurs de l'administration des territoires. Ils étaient nécessaires, du fait de la connaissance des us et coutumes des sociétés africaines, de l'autorité, parfois prestigieuse, qui incombe à ces chefs, et du rôle évident de lien entre l'autorité française et la population à administrer. Mon ensemble, présenté ici, s'inscrit dans une période de transition, je le pense, vers un autre rôle à jouer pour ces chefferies traditionnelles : un rôle important dans l'acte de naissance et les premières années de l'indépendance de leur territoire devenu État.

Sources :
   • CLAUZEL Jean : La France d'Outre-mer (1930-1960) : témoignages d'administrateurs et de magistrats ; Khartala ; Paris, 2003.
   • RAMOGNINO Pierre : « Les vrais chefs de l'Empire », in Cahiers d'histoire. Revue d'histoire critique, 85 / 2001, pages 57-66.
   • VAN VOLLENHOVEN Joost : Circulaire du Gouverneur général au sujet des chefs indigènes ; Dakar ; 15 août 1917 ; Journal officiel de la Guinée française ; 15 septembre 1917.
   • ZUCCARELLI François : « De la chefferie traditionnelle au canton : évolution du canton colonial au Sénégal - 1850-1960 », in Cahiers d'études africaines ; 1973 ; pages 213-238.

Cordialement

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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyMar 30 Jan - 18:57

Bonjour, vraiment superbe, merci du partage.
Cordialement Pierre
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poddichini
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyMar 30 Jan - 19:33

Bonsoir Pierre,

merci pour votre message.

Amicalement
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AUBRAC
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyMer 31 Jan - 7:32

Bonjour Thomas

Développement passionnant (comme toujours!) et objets exceptionnels. Merci pour ce très intéressant partage. Cordialement
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poddichini
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyMer 31 Jan - 7:40

Bonjour AUBRAC,

merci à vous pour votre lecture et votre message.

Très bonne journée, amicalement
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Yeng-Wang-Yeh
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyMer 31 Jan - 11:58

Bonjour Poddichini,

Merci pour ce très intéressant post! Je n'avais encore jamais vu ce type d'effets.
Un lot exceptionnel! C'est un gros plus d'avoir le képi et les pattes d'épaules ensembles.

Merci encore pour ce très beau partage de pièces atypiques et les explications intéressantes sur le rôle des chefferies

Amicalement
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poddichini
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyMer 31 Jan - 12:41

Bonjour Yeng-Wang-Yeh,

merci pour votre message. Fort heureusement, le képi et les pattes d'épaules étaient vendus ensemble, ce qui a permis de ne pas disperser les éléments. Surtout que tout est neuf, les pattes d'épaule sont encore attachées ensemble par un petit fil.

Amicalement
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Aldebaran
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyMer 31 Jan - 13:20

Bonjour,

et merci pour ce beau post de présentation qui permet d'apprécier ces objets avec une remarquable et synthétique mise en perspective historique !

Aldebaran
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poddichini
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poddichini


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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyMer 31 Jan - 15:45

Bonjour Aldebaran,

merci à vous.

Cordialement
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyJeu 1 Fév - 20:08

Bonjour Thomas
Encore une belle présentation....de pièces bien peu connues.
Bravo.
Bien à toi.
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poddichini
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyJeu 1 Fév - 21:02

Bonsoir Jérôme,

merci à vous pour votre message.

J'espère être dans le vrai au sujet de l'attribution à donner à cet ensemble. Si cela est autre chose, je ne désire que le savoir.

Amicalement
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Dumas
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyJeu 1 Fév - 21:14

Bonsoir
Comme on dit chez moi, ce soir je me coucherai moins "c.."
Merci pour le partage de ce képi vraiment étonnant 👍
Cordialement

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PYD
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PYD


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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyJeu 1 Fév - 21:40

Bonjour

Je n’y connais rien à ce thème et c’est pour cela que j’apprécie grandement ce genre de post qui est pour moi une véritable richesse pour mon apprentissage.


Merci

Slts
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poddichini
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poddichini


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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 6:09

Dumas a écrit:
Bonsoir
Comme on dit chez moi, ce soir je me coucherai moins "c.."
Merci pour le partage de ce képi vraiment étonnant 👍
Cordialement


Bonjour Dumas,

merci à vous.

Amicalement
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poddichini
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poddichini


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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 6:09

PYD a écrit:
Bonjour

Je n’y connais rien à ce thème et c’est pour cela que j’apprécie grandement ce genre de post qui est pour moi une véritable richesse pour mon apprentissage.


Merci

Slts

et merci également à PYD.

Bonne journée.
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Tchadienne
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 9:00

Bravo monsieur pour cet exposé brillant et bien écrit. Je me souviens d'un fils de chef de canton au Tchad qui eu comme prénom, selon l'usage local lorsque l'on voulait honorer une personne, le prenom et le nom de mon père alors administrateur en chef. J'ai retrouvé ce jeune homme, bien des années après. Il avait fait une brillante carrière au Tchad, ministre puis ambassadeur aupres de l'ONU. Ce monsieur m'a dit par téléphone " ce n'est pas la colonisation qui fut un problème, c'est la décolonisation". L'administration française de l'Afrique noire fut dans son ensemble honorable, malgré quelques pages noires dont certains ont fait des généralités. Merci aux historiens qui souhaitent défendre cette page de notre histoire. Une comparaison de l'action de la France avec celles des autres pays européens et serait édifiante.
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poddichini
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 9:46

Bonjour,

merci pour votre message.

Amitiés.
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 9:52

Bonjour cher Poddichini,
Mais quelle pépite !
Merci pour le partage de ce moment d'Histoire Smile
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 10:31

Merci à nouveau.
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 10:47

Un superbe képi avec ses épaulettes. Les modèles portés doivent être introuvables.
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 12:27

Bonjour,

merci pour votre message. Je ne sais pas si on arrivera à trouver ne serait-ce qu'une photo en situation.

Cordialement
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 14:01

Mais question bête... Ces coiffures furent-elles portées sur place ? Pourquoi marquer Chef Africain en Afrique.
Serais-ce pour que les "blancs" reconnaissent leur interlocuteur, ou alors pour qu'ils soient reconnus en métropole ?
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 14:55

Bonjour poddicini,

Merci pour ce très intéressant texte.

Amicalement
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 15:31

Ir 143 a écrit:
Mais question bête... Ces coiffures furent-elles portées sur place ? Pourquoi marquer Chef Africain en Afrique.
Serais-ce pour que les "blancs" reconnaissent leur interlocuteur, ou alors pour qu'ils soient reconnus en métropole ?

Il n'y a pas de question bête.
Je n'ai malheureusement aucune réponse à apporter, les éléments sur ce képi, comme le titre est intitulé, sont mystérieux.

Cordialement
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux EmptyVen 2 Fév - 15:31

FTellier a écrit:
Bonjour  poddicini,

Merci pour ce très intéressant texte.

Amicalement

Merci à vous ami québécois.
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MessageSujet: Re: Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux   Les chefferies africaines dans l'Empire colonial - un képi mystérieux Empty

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