Inventaire et étiquetage

Bonjour

Un grand nombre d’entre nous apparemment, procède de diverses manières pour réaliser ce que l’on peut appeler, « l’inventaire de sa collection ».

Les buts sont multiples :
Mettre un peu d’ordre dans un ensemble plus ou moins disparate (encore plus vrai pour les généralistes)
Identifier chaque pièce le plus précisément possible
En fixer les particularismes
faire des photos (souvent utile en cas de vol)
établir des fiches, contenant tous les renseignements que chacun croit utiles ou simplement anecdotiques d’y figurer ( date et prix d’achat etc..)

La première étape de l’inventaire peut consister en l’ouverture d’une « main courante » où sera enregistrée au fur et à mesure, toute pièce entrante, chacune recevant le numéro d’ordre suivant celui précédemment enregistré et cela dans une série unique ( ex : de 1 à…..)

Ce numéro se retrouve sur la fiche ouverte pour cette pièce, contenant photos et précisions.

Reste à étiqueter la pièce elle-même pour faire figurer son numéro d’enregistrement (ce qui permet à n’importe qui (y compris à soi-même) de retrouver facilement tous les renseignements portés sur la fiche)

Divers moyens peuvent être employés pour réaliser cet étiquetage.

Au début, j’ai employé des petites étiquettes cartonnées munies d’un bout de ficelle. On les achète en papeterie en liasse pour une somme modeste. Il suffisait d’y inscrire le numéro et de l’attacher à la pièce. Au bout de peu de temps, la collec ressemble un peu à un étalage de charcutier avec les étiquettes qui volètent au moindre courant d’air…et puis ce fond blanc multiplié à l’infini…C’est pas glop !

Du coup, autre option, plus discrète et aussi plus solide.

Un bout de zinc de gouttière récupéré, une cisaille, des petits carrés de 1 cm de côté. Petit coup de lime à clé sur les coupes pour pas que les mouches se blessent les pattes. Un petit trou destiné à passer le bout de chainette à boules qui servira à pendre la mini plaque.

Ces petits bouts de chainette à boules comportent un maillon « fermoir » qu’il suffit d’écraser (doucement) avec une petite pince pour fermer le bracelet. Ils sont vendus en sachet de plus d’une centaine pour une poignée de fèves chez le grand marchand qui rit jaune.

Dernier point mais non des moindres : il faut frapper le numéro sur la mini plaque en zinc. Pour ce faire, il y a lieu de posséder un jeu de marque à frapper « chiffres ». Pas évident d’en trouver dans le commerce. Il m’aura fallu pas mal de patience pour en dégotter un jeu chez « l’enchanteur Merlin » (ou peut-être bien qu’il était Roy.)

Bon, il existe certainement des petites plaques plus académiques que les miennes mais, c’est une vieille habitude ; j’ai souvent travaillé juste avec la b…et le couteau et quelquefois même sans couteau.

Donc, au final, cela me convient. C’est bien l’essentiel. Cordialement

Le matos de base

merci pour l'idée (illustrée par de belles photos !)

et surtout ...

merci de ne pas avoir illustré par des photos cette partie :

" j’ai souvent travaillé juste avec la b…et le couteau et quelquefois même sans couteau. "

Salut Petigny

J'espère ne pas avoir choqué ta pudeur par cette regrettable parole d'égarement qui ne servait qu'à expliquer le côté fruste de mon pauvre bricolage. "On dit de ces bêtises quelquefois, Thérèse!"
Heureusement que cette rubrique est un peu confidentielle, ce qui m'évitera d'autres justes foudres.
Très bonne journée à toi.

Salut
Bonne idée, la récupération !
Pour ma part, j'utilise des cartons avec une cordelette de chanvre pour identifier mes casques. L'étiquette reste planquée sous le casque.
Mais je vais utiliser ta technique pour les autres objets, c'est vraiment sympa.
Jean Loup

Salut Jean Loup

Toutes mes "bricoles" ne sont pas identifiées avec ce système de petites plaques. Sur les petites pièces je me contente d'apposer une petite gommette placée si possible dans un endroit peu visible. Pour les casques, petite gommette également, à l'intérieur de la bombe. Les pièces d'uniforme reçoivent un petit carré de carton (avec le numéro) dans une poche (s'il y en a) etc.. Rien de vraiment original donc, juste du simple bon sens. Cordialement

AUBRAC a écrit:

Salut Petigny

J'espère ne pas avoir choqué ta pudeur par cette regrettable parole d'égarement qui ne servait qu'à expliquer le côté fruste de mon pauvre bricolage. "On dit de ces bêtises quelquefois, Thérèse!"
Heureusement que cette rubrique est un peu confidentielle, ce qui m'évitera d'autres justes foudres.
Très bonne journée à toi.

Justes foudres ...justes foudres ... au mieux une petite étincelle !!!

Quant à Thérèse on la remerciera jamais assez pour son gilet !

petigny a écrit:

merci pour l'idée (illustrée par de belles photos !)

et surtout ...

merci de ne pas avoir illustré par des photos cette partie :

" j’ai souvent travaillé juste avec la b…et le couteau et quelquefois même sans couteau. "