Sabre à l'orientale pour la troupe

Bonjour:
L'ami et expert CHAPE48 nous a montré il y a quelques jours un excellent sabre à l'orientale de fabrication tardive française.
Ce fut un plaisir de pouvoir observer l'arme et lire les explications.
Aujourd'hui je montre, pour le plaisir des yeux et la surprise des amateurs et de qui ne connaissent pas le modèle, un sabre espagnol à l'orientale (en Espagne "a la turca") mais conçu pour la troupe d'Artillerie à Cheval en 1855.
Despuis 1840 seus les généraux pouvaient utiliser un sabre à l'orientale. C'etait un signe de son autorité. En 1855, l'étonnement des généraux était totale et sa colère agaçante et justifiée.
La fin de l'histoire était simple: en 1862 le sabre des Artillerurs à Cheval (officiers et troupe) est supprimé. Ils n'ont été employés que pendant 7 ans. Quantité fabriquée pour la troupe: environ 500.
Actuellement une belle partie de l'histoire des armes blanches.

Bonjour,

Belle arme singulière je trouve dommage l'écriture choisie pour indiquer le modèle cela, à mon sens, enlève du cachet a cette belle pièce. Merci de cette présentation.

cordialement

PENÍNSULA a écrit:

Bonjour:
L'ami et expert CHAPE48 nous a montré il y a quelques jours un excellent sabre à l'orientale de fabrication tardive française.
Ce fut un plaisir de pouvoir observer l'arme et lire les explications.
Aujourd'hui je montre, pour le plaisir des yeux et la surprise des amateurs et de qui ne connaissent pas le modèle, un sabre espagnol à l'orientale (en Espagne "a la turca") mais conçu pour la troupe d'Artillerie à Cheval en 1855.
Despuis 1840 seus les généraux pouvaient utiliser un sabre à l'orientale. C'etait un signe de son autorité. En 1855, l'étonnement des généraux était totale et sa colère agaçante et justifiée.
La fin de l'histoire était simple: en 1862 le sabre des Artillerurs à Cheval (officiers et troupe) est supprimé. Ils n'ont été employés que pendant 7 ans. Quantité fabriquée pour la troupe: environ 500.
Actuellement une belle partie de l'histoire des armes blanches.

Bsr cher ami et grand connaisseur des armes blanches.
Je crois que le sabre que tu montres pour notre connaissance et notre curiosité a peu de chance de se trouver en France, compte tenu du petit nombre de modèles fabriqués.
Mais c'est une pièce singulière et son histoire ne l'est pas moins, on y trouve de l'ego et de la mode.
Bien amicalement.